Nora Murena - Praticienne en soins énergétiques et voyages chamaniques
RENCONTRE AVEC NORA
“ Mon approche est avant tout humaine. Chaque moment est un partage dans la douceur et l’humilité, pour permettre à chacun de trouver les réponses et ressources à l’intérieur de soi.”
Crédit photo : Antoine Ferrier
Quelles sont tes formations :
Mon rapport au soin est avant tout une histoire de transmission. Celle de mon père d’abord qui étant petite me soignait avec les mains et m’a ouvert à une autre perception du monde. C’est au fil des années, des rencontres et des expériences personnelles que la sensibilité dont j’ai hérité m’est apparue comme une évidence, celle d’accompagner les autres comme un alignement.
J’ai croisé le chemin d’une guérisseuse qui m’a appris à dompter le magnétisme qui était en moi, développer mes capacités intuitives et initiée au chamanisme. Ma pratique s’est ensuite enrichie des enseignements de Luc Bodin, de Laurent Hugelit et continue d’évoluer chaque jour de manière organique, en harmonie avec la vie, l’espace et le temps.
Quels sont les types de soins que tu proposes ?
Je propose différents formats de soins et ateliers :
Des soins énergétiques individuels permettant de rééquilibrer le champ énergétique et rétablir le lien entre le corps et l’esprit. L’idée étant d’accompagner les personnes à se reconnecter à elles-mêmes et dépasser ce qui les empêche d’avancer dans leur vie en libérant les mémoires émotionnelles (personnelles, collectives et familliales) inscrites dans leur corps.
Des espaces collectifs (de soin et cercles chamaniques) permettant de vivre ensemble des expériences guérison et de reconnexion à soi. S’autoriser à écouter son corps, accéder à des états de conscience modifiés et trouver les réponses en soi.
Comment définirais-tu ton approche ?
Mon approche est avant tout humaine. Chaque moment est un partage dans la douceur et l’humilité, pour permettre à chacun de trouver les réponses et ressources à l’intérieur de soi.
Qu’est-ce qui rend tes soins uniques ?
L’échange, l’écoute, la sensibilité.
À quoi ressemble une retraite avec toi ?
Une retraite est pour moi avant tout une aventure humaine. C’est une alchimie subtile entre toutes les personnes présentes, qui ont chacun à leur échelle quelque-chose à apporter au collectif pour vivre quelque-chose ensemble, et en ressortir individuellement grandis.
3 mots qui résument ce que t’apporte ta pratique :
Sérénité, alignement, confiance.
Si tu n’étais pas énergéticienne, tu serais...
Designer ou directrice artistique.
Ton mantra du moment (ou pour la vie) :
“It’s not what happens to you that matters but how you react to it” (Épictète)
Ton animal totem :
L’animal totem est très personnel mais je peux dire que le mien a beaucoup de traits communs avec les félins. Il a une présence douce et câline, une agilité d’esprit et une subtilité qui m’invite à emprunter certains chemins que je n’aurais pas forcément exploré.
Tes racines (d’où viens-tu, ce qui t’a construit) :
J’ai grandi dans la nature. Littéralement au milieu de la forêt, avec des parents très connectés au vivant, à l’art et à la musique. Je ne serais pas la même aujourd’hui si je n’avais pas grandi ainsi, cela a profondément façonné mes valeurs et ma sensibilité.
Un·e mentor ou figure qui t’a inspiré·e et pourquoi ?
Je n’ai jamais vraiment eu de “mentor” mais toutes les personnes qui ont croisé ma vie ont eu une importance. Chacune, de près ou de loin, a eu un rôle de un miroir qui m’a permis de grandir et d’avancer. Je les remercie d’ailleurs.
Tes passions :
L’art, la beauté et l’harmonie. Je me nourris énormément de l’ethétique des choses qui m’entourent. Des interractions humaines et de la création - qu’elle soit humaine ou l’oeuvre de la nature. La conscience me passionne aussi, tout comme les différentes formes de savoir et médecines ancestrales.
Une habitude ou un petit plaisir coupable à nous partager :
Accepter de ne rien faire parfois, rester au chaud sous un plaid et s’offrir un moment pour soi.
Un ou plusieurs livres qui ont marqué ton chemin :
Le corps n’oublie rien de Bassel Van der Kolk.
Quand la beauté nous sauve de Charles Pépin.
Un ou plusieurs films, documentaires ou séries qui t’inspirent :
Les films de Alejandro González Iñárritu, mais aussi des podcasts (dont Métamorphose de Anne Ghesquière) et certaines expositions telles que la Carte blanche à Tino Seghal au Palais de Tokyo. Certains mots résonnent toujours aujourd’hui.
Qu’est-ce qui t’a donné envie de faire partie de l’aventure Yogascope ?
La rencontre avec Léa, sa fondatrice. Une femme inspirante et profondément humaine, qui crée avec le cœur, des expériences à son image.
Qu’est-ce que tu aimerais que les gens retiennent après un séjour avec toi ?
Que nous avons tout en nous !
Où peut-on te retrouver en dehors des retraites Yogascope ?
Dans mon cabinet à Montmatre ainsi que différents lieux holistiques (Lymf(e)a, Hôtel Hoy, Soho
House, Hôtel Hana). Et bientôt en ligne sur l’application E(ki)libre.
Tes réseaux sociaux/site internet :
Un mot pour la fin ?
Croyez en vous. Aucun rêve n’est trop grand.
