5 idées reçues sur les retraites bien-être (et pourquoi il faut les dépasser)


Vous hésitez à vous offrir une retraite yoga ou bien-être ? Vous n’êtes pas seul·e.
Entre les clichés véhiculés sur Instagram et les idées préconçues sur ce type de séjour, nombreux sont ceux qui passent à côté d’une expérience profondément transformatrice… faute d’information.

Voici 5 idées reçues qu’on entend (très) souvent — et pourquoi elles méritent d’être remises en question.

« C’est pour les gens souples, déjà très avancés en yoga »

Faux. La plupart des retraites Yogascope sont justement conçues pour accueillir tous les niveaux, des curieux·ses aux pratiquant·es plus expérimenté·es.

Ce qui compte, ce n’est pas de “réussir” un chien tête en bas, mais de venir avec un corps et une intention.
Les professeurs adaptent les séances en fonction des capacités et de l’énergie du groupe, et privilégient l'écoute à la performance.

« Ce sont des séjours hors de prix, réservés à une élite »

Pas nécessairement. Certes, certaines retraites ultra-luxe existent… mais ce n’est pas la norme.

Chez Le Yogascope, nous proposons des formats accessibles à différents budgets, avec hébergements partagés, pensions complètes végétariennes, et souvent accessibles sans avion pour limiter l’impact carbone et le coût global.

« C’est trop perché, je vais devoir parler à mon aura et faire des câlins à des arbres »

La spiritualité peut faire peur… surtout quand elle semble forcée.
Mais toutes les retraites ne sont pas ésotériques. Et la majorité de nos séjours s’ancrent dans une pratique simple, incarnée et respectueuse des croyances de chacun.

Pas besoin de croire à quoi que ce soit :
🌀 On respire,
🌀 On marche,
🌀 On se relie à soi.
Et parfois, on en ressort profondément apaisé·e — sans jamais avoir prononcé le mot “chakra”.

« Je vais devoir parler de moi à des inconnus »

Non, rien n’est obligatoire. Les cercles de parole, moments de partage ou échanges en groupe sont proposés, jamais imposés. Beaucoup viennent pour le silence, la solitude, ou juste pour être dans un cadre soutenant.

« C’est une parenthèse qui ne dure pas »

C’est justement l’inverse.
Une retraite bien construite n’est pas une fuite du quotidien, c’est un entraînement à une autre façon de vivre. Les pratiques, les prises de conscience, les ralentissements vécus sur place sont des graines qui continuent de pousser bien après le retour.


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